Les secrets de la joie de vivre des Colombiens

Nous avons été ravis d’accueillir Andrés qui a apporté de la joie et de la magie tropicale hautes en couleurs chez Ethitra. Que de découvertes linguistiques et culturelles, de bons moments artistiques et gourmands ! Un énorme merci, Andrés, pour ta disponibilité, ta bonne humeur et ton "œil de Condor" qui était précieux pour nos projets en espagnol ! 
Et voici quelques secrets de joie de vivre des Colombiens de la part d'Andrés pour vous. 

Colombie : Amérique latine ou Amérique du sud ?


Eh bien, les deux ! En même temps d’être les fiers représentants de l’Amérique latine, nous partageons avec le Panama un énorme et inexploré espace montagneux, la Serranía del Darién, qui représente la porte d’entrée de l’Amérique du sud.


Si on part d’une approche géographique, l’Amérique est un énorme continent qui relie le pôle arctique et le pôle antarctique et qui est divisé comme suit : l’Amérique du Nord, qui comprend le Canada, les États-Unis et le Mexique ; l’Amérique centrale, qui comprend tous les pays qui se situent entre le Guatemala et la Panama, ainsi que les îles des Caraïbes ; et l’Amérique du Sud, qui englobe tous les pays situés entre la Colombie et l'extrémité du Cône Sud. La Colombie est le symbole d’une biodiversité et d’un mélange d’écosystèmes qui ne peuvent être trouvés nulle part ailleurs. C’est l’endroit où la splendide cordillère des Andes se divise en trois, faisant du territoire national un ensemble de vallées chaudes encerclées par des montagnes et des pics enneigés imposants. Nous comptons également des plages tropicales sur le Pacifique et les Caraïbes, de vastes plaines et la forêt amazonienne, le poumon de la planète. Il faut le dire : la Colombie est le seul point de rencontre d’autant d’écosystèmes !


Mais, qu’est-ce alors l’Amérique latine ? Eh bien, ce terme se réfère à un concept plutôt culturel. Étymologiquement, l’Amérique latine désigne tous les pays du continent américain dont la langue officielle est une langue latine. Ainsi, tous les pays qui se trouvent entre le Mexique et l’Argentine – à l’exception du Bélize, des Guyanes et la plupart des Caraïbes– peuvent être fiers de porter l’empreinte « latino ». Dommage pour les États-Unis et le Canada, qui se voient exclus de cette classification ! Néanmoins, ceux qui défendent le sens strict du mot « latine » tiennent à sa définition, et considèrent que le Québec et la Guyane française font partie de cette communauté, en tant que pays francophones. Mais bon, comme dit précédemment, l’Amérique latine n’est pas seulement un territoire délimité par sa langue, mais surtout une population avec un partage culturel inégalable, et cette Amérique latine culturelle est caractérisée surtout par l’Amérique hispanique et le Brésil.


En effet, l’Amérique latine est un concept très complexe dû à son histoire diverse : différentes vagues de migration, des musiques basées sur des rythmes africains mais complétées avec des paroles en langues européennes, une ambiance conviviale, des plats inspirés de la production locale et des savoir-faire indigènes qui feront s’extasier vos papilles gustatives… Bref, l’Amérique latine ce n’est pas qu’un concept territorial, mais c’est aussi un véritable art de vivre !


Les 50 nuances de l’espagnol


L’Amérique latine se développe à grand pas, et peut-être serez-vous intéressés à développer votre marque dans ce territoire. Mais attention ! La langue sera un élément clé à prendre en compte afin de bien cibler votre public, car le lexique peut changer d’un pays à l’autre. Envie de vendre votre nouvelle collection de T-Shirts en Amérique latine ? Si vous voulez bien attirer l’attention de votre public, vous proposerez des « camisetas » sur le marché colombien, des « franelas » au Vénézuela, des « playeras » au Mexique et des « poleras » au Chili. 


Et oui, bien que la plupart des pays d’Amérique latine partagent l’espagnol comme langue officielle, cela ne veut pas dire qu’ils parlent tous pareillement – et surtout, ce n’est pas du tout identique à la variante ibérique. En effet, chaque pays possède ses propres mots pour un même concept, comme c’est le cas pour « T-Shirt », et la liste est encore longue.


Mais notre richesse linguistique ne s’arrête pas là : le plus beau de la diversité linguistique en Amérique latine – et sans aucun doute la première chose qui frappe l’oreille – c’est la coexistence d’une centaine d’accents tout au long du continent, chacun avec ses propres caractéristiques : une musicalité italienne pour l’espagnol argentin, ou bien le « r » de Cuba parfois pas prononcé ou prononcé comme un « l », ou encore l’emprunt des dialectes indigènes pour les différents accents andins, et finalement la musicalité africaine pour les accents caribéens.


Et vous vous en doutez bien : chaque pays a sa variante standard. Comment cela se passe-t-il en Colombie ? L’espagnol « colombien » est connu pour sa neutralité, mais nous avons toute une liste d’expressions propres à nous. Quiconque entendra l’une de ces expressions saura immédiatement qu’il s’agit d’un Colombien qui parle. Voici une petite astuce : si vous signez un contrat en Amérique latine, on vous demandera de signer avec un « lapicero », une « pluma » ou un « bolígrafo ». Mais si c’est à Bogota que vous avez le plaisir de vous installer, vous aurez besoin d’un « esfero » pour signer ce contrat, mot bogotanais par excellence. Maintenant, une petite liste des mots à connaître  si vous souhaitez vous aventurer en territoire colombien :


·      Ahorita = littéralement « tout de suite », mais en Colombie ce mot est employé pour dire « après, tout à l’heure », d’habitude employé pour repousser quelque chose à plus tard.

·      Bacano = quelque chose de très cool, « de ouf » comme on dit maintenant

·      Chévere = comme « Bacano »

·      Guaro (diminutif de « Aguardiente ») : alcool colombien par excellence

·      Guayabo = gueule de bois. Attention, à ne pas confondre avec « guayaba », qui est la goyave.

·      Parcero (ou Parce) = un très bon ami, un « ami de l’âme » comme on dit

·      Tinto = attention, faux-ami, car on ne parle pas du vin rouge mais d’un café.

·      Todo bien = tout va bien, mot-à-mot, mais peut adopter tant le sens de « tout roule » que de « ne t’en fais pas » pour rassurer quelqu’un.


Ce qui rend encore plus beau la langue c’est son hétérogénéité, une marque distinctive au sein même d’une communauté déjà distincte des autres.


 «A donde fueres, haz lo que vieres » (Partout où tu vas, fais ce que tu vois)

Pour établir de bonnes relations avec les Colombiens, il est très important de comprendre leurs habitudes, leur caractère et surtout les petits plaisirs qui font d’eux l’une des nations les plus heureuses. Grâce au célèbre écrivain Gabriel García Márquez, la Colombie est devenue le symbole du réalisme magique, et des raisons il y en a ! Un tas d‘expériences uniques à découvrir en Colombie qui vous feront suivre de près le quotidien des Colombiens, tout en profitant de la diversité paradisiaque du pays.

D’abord, il est très important de savoir que pour les Colombiens, la bienveillance dans la bonne humeur et le respect est un point essentiel, et l’accueil des gens pourrait parfois vous surprendre au premier abord. Vous ne saurez pas trop comment réagir si un couple de personnes âgées très sympathiques vous invite à dîner chez eux alors que vous n’avez échangé que quelques mots pendant que vous faisiez la queue dans une petite épicerie du village. Cela peut sembler bizarre aux yeux d’un Européen, mais derrière ça il n’y a rien d’autre qu’un sens de la bienveillance envers autrui qui n’est pas comparable. Mais surtout, les Colombiens s’attendent à ce que vous réagissiez avec la même ouverture d’esprit et qu’ils voient en vous une curiosité pour leur culture, et ils ne le prendront pas très bien si vous refusez leur invitation. En effet, ils seront plus qu’heureux de vous faire sentir comme chez vous, vous faire découvrir la vie « locale ». Alors, si des personnes vous invitent dans leur finca pour manger des arepas avec du chocolat chaud pour ensuite profiter de la vue allongé sur un hamac pendant qu’ils vous racontent leur jeunesse dans ce pays jadis agricole, n’aillez pas peur et aventurez-vous !


Et pour les affaires alors ? Quelles sont les habitudes en Colombie ? Bon, c’est sûrement un autre aspect qui pourra vous surprendre au début. En Colombie, les gens travaillent en général du lundi au vendredi comme en France. Par contre, les horaires sont un peu en décalé ; vous serez étonné lorsque vous entendrez que les adultes se réveillent tous les jours à 6h pour aller travailler, et il en est de même pour les enfants qui se préparent pour aller à l’école, mais cela est tout à fait normal. On vit plus tôt qu’en France.


Mais bon, tout n’est pas travail, et il faut aussi passer de bons moments avec ses collègues pour maintenir une ambiance agréable. Comme vous le savez, à Paris on commence à se détendre à la mi semaine, et le mercredi soir on commence déjà à voir des gens prendre un verre en terrasse après le travail. Sachez qu’en Colombie il n’est pas très commun d’aller boire en début de semaine. En revanche, nous tenons bien à l’une de nos plus belles traditions, et c’est celle du « juernes », mot issu de « jueves » (jeudi) et « viernes » (vendredi). Ça veut dire quoi ? En gros, c’est le jeudi où l’on se « prépare » pour vendredi, et ça consiste à se retrouver avec des amis ou des collègues pour aller prendre un verre et comme ça être prêt pour le week-end. C’est le moment parfait pour introduire une bonne ambiance au sein de vos connexions !


En conclusion, s’il y a une chose à retenir du caractère colombien et auquel vous devrez adhérer c’est la bonne humeur et la joie de vivre. Que vous soyez au travail, avec des amis, ou avec des inconnus, le sourire et l’enthousiasme seront toujours la clé pour assurer de bons liens. Alors, laissez vous vous emporter !


Liens photos :

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A l'occasion du Premier Salon de l’Agriculture virtuel franco-russe, nous avons échangé avec notre consultante et interprète Olga Mojaeva . Diplômée de la prestigieuse école ESIT (Ecole Supérieure d’Interprètes et des Traducteurs) en spécialisation interprétation de Conférence, Olga Mojaeva intervient sur diverses missions d'interprétation simultanée et consécutive dans des domaines très variés sur le marché privé : colloques et séminaires internationaux, forums d’affaires, négociations commerciales, ainsi que pour le compte des institutions internationales (UNESCO, Conseil de l’Europe, OCDE, OTAN…) et nationales (Ministère des Affaires Etrangères, Ministère des Finances, Ministère de la Culture…) et des m issions bénévoles d'interprétation pour des ONG et des organisations humanitaires: FIDH, Reporters sans Frontières, AIDES, Amnesty International...). Olga nous raconte comment le contexte actuel a changé les modes d'interprétation et les échanges dans le monde de l'entreprise. Comment le contexte actuel a influencé les réunions à l'international dans le monde de l'entreprise? Au début, les entreprises étaient choquées. De nombreuses rencontres ont été annulées à cause de la fermeture des frontières et des restrictions des déplacements. Après une période de latence, quand les entreprises ont compris que cette situation allait durer, elles ont commencé à chercher des solutions. Les besoins d’échanges existent toujours . Ainsi ils se sont déplacés dans la sphère virtuelle. Aujourd'hui à côté des grands évènements internationaux qui ont lieu en mode visio-conférence - G20, le forum de Davos, le conseil Européen - d'autres formes d'échanges se sont développés en virtuel : des Salons professionnels virtuels, des formations, des webinaires de présentation, des séminaires de motivation ("incentive programmes"). Il m'est arrivé récemment d'interpréter pendant une rencontre entre les régions en mode "speed dating d'entreprise", organisée par le Monaco Economic Board. Aujourd’hui il existe déjà des formats très innovants. Pour palier au côté passif de ces évènements, certaines entreprises proposent même d'utiliser des avatars pour inciter les participants à participer à des conférences en ligne. Comment les entreprises abordent-elles le virtuel ? Le problème du virtuel est que les entreprises ont du mal à réaliser que ces évènements nécessitent aussi un investissement . Lorsqu'il s'agit des évènements physiques, les sociétés s’adressaient à une multitude de fournisseurs - agence de catering , hôtels, agence d'évènementiel - et in fine elles sont prêtes à consacrer un budget important pour la réussite de leur rencontre avec leur partenaire international. Dans le monde virtuel, on a tendance à penser qu'un webinaire de 2 heures devrait être gratuit. Les entreprises n’ont pas encore confiance et ne sont pas prêtes de dépenser pour un évènement virtuel. Elles investissent moins dans le monde virtuel et seraient prêtes à revenir aux rencontres physiques dès que la situation s'améliore. D'un autre côté, elles sont obligées d'améliorer leur expérience virtuelle. La réalité sera entre les deux. Car les formats virtuels vont se développer. L'aspect géopolitique et culturel joue aussi. Dans la cabine russe, on sent qu'il y a moins de missions d'interprétation étant donné le contexte géopolitique qui a aggravé la situation sur le marché russe. D'autre part, les clients russes sont plutôt frileux du format virtuel. C’est un aspect culturel. Quelles sont les particularités des réunions en virtuel ? Quel type d'interprétation est à privilégier lors de webinaires internationaux ? Les réunions sont plus courtes. Tenir une journée est difficile. En général, les conférences importantes sont divisées en deux sessions de 2 à 3 heures maximum. Normalement la durée d'un évènement virtuel ne dépasse pas 2 heures. Quant au type de l'interprétation, on s'adapte à tout . Globalement les gens sont plus impatients devant leurs écrans qu’en présentiel. Ils s’attendent à une plus grande vitesse de la parole et ne se rendent pas compte que le débit est bien plus rapide que pendant une réunion physique. C’est l’interprétation simultanée qui convient mieux dans le contexte virtuel . Car c’est immédiat et les gens ne sont pas prêts à attendre. Tandis que l’interprétation consécutive double la durée de l’évènement. De plus, lors de l'interprétation consécutive la moitié du temps les gens qui ne comprennent pas l’original s’ennuient. Au moins, lors des rencontres physiques, ils acceptent de patienter s’il y a des petits fours à côté... Comment a évolué le métier de l'interprète ? Il y a 15 ans l’interprète ne touchait pas à son poste, il appuyait juste sur un bouton dans sa cabine pour parler. Aujourd’hui l’interprète est obligé d’être un technicien. On doit investir dans de nombreux équipements : microphone, casque, deuxième ordinateur, multiplexeur (mini-studio de sons, l'insonorisation). Il faut être équipé d’un micro USB avec de tels paramètres, sensibilité, impédance, directivité, avoir un micro-casque de qualité pour assurer une bonne qualité du son. Aujourd’hui on peut aussi travailler de la maison. Cela nécessite de s'adapter. En général les missions d'interprétation simultanée sont assurées par deux interprètes qui se relaient toutes les 15 minutes environ. Avec le travail à distance, l'organisation change. L e coéquipier qui n’est plus dans la cabine. Il faut savoir "passer le micro à l’aveugle". Cela relève de l'adaptation technique, voire souvent de la débrouille. Il existe aussi des plateformes d’interprétation professionnelles qui proposent un environnement de travail dans les meilleurs conditions. On peut citer par exemple la solution proposée par iBridge People, une société française qui propose des solutions d'interfaces spécifiques pour la collaboration entre les deux interprètes. Il s'agit des solutions indépendantes qui peuvent s’interfacer avec n’importe quel logiciel de visioconférence. Qu'est-ce qui garantit le succès d'un évènement virtuel avec l'interprétation ? Anticipation et collaboration ! L'anticipation car un tel évènement se prépare. Il y a un aspect technique qui ne doit pas être négligé. Le choix de la technologie est important. Il est possible bien sûr d'utiliser des solutions plus abordables comme Zoom mais il vaut mieux prévoir un bon support technique pour s'assurer que tout se passe bien en amont et pendant la réunion : connexion des participants, utilisation des micros, etc. L'erreur la plus courante, c'est de négliger la qualité du son. Penser que si on vous entend à peu près c’est suffisant est risqué. L'interprète doit être dans les bonnes conditions pour entendre toutes les nuances d'un discours : chiffres, noms propres, etc. Pour cela, l'intervenant doit utiliser un bon micro. Tout ce que l’interprète n’entendra pas de l'orateur, il ne pourra le transmettre. Mais ce qui est encore plus important c'est la bonne collaboration entre l'interprète et l'intervenant. L’interprète incarne le speaker . L'intervenant doit considérer l'interprète comme son coéquipier. Ainsi qu and l’interprète demande d'être briefé en amont des réunions, de recevoir des documents qui serviront de support pendant la réunion, c’est pour garantir la meilleure qualité de l'interprétation et la satisfaction des participants. *Différents type d'interprétation : Dans l' interprétation consécutive , l'interprète reproduit l'intégralité du discours une fois l'intervention terminée, en utilisant un système de notes simples, souvent des signes (type pictogramme) si possible détachés d'un système linguistique. En raison des contraintes de temps, il est rare que cette technique soit utilisée lorsqu'il y a plus de deux langues actives. Dans l' interprétation simultanée , l'interprète, à l'aide d'un dispositif technique, entend à travers des écouteurs le discours tout en traduisant oralement au fur et à mesure dans un microphone. Le chuchotage est une variante de l'interprétation simultanée sans dispositif technique. L'interprète suit les interventions en salle et traduit en chuchotant à l'oreille de son ou sa délégué(e).
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